Alice marche seule dans le désert, sa robe battue par les vents chauds. Prise d’étourdissement, elle tombe sur une vieille cabane en pierre, quelque part dans le Sud-Ouest américain. S’agit-il d’un portail vers un autre temps ou d’une hallucination du désert ? Peut-être n’aurons-nous jamais la réponse mais, une fois à l’intérieur, Alice devient à la fois la star et le seul public d’une soirée de débauche et de déviance sexuelle. Baisée, torturée, dévorée, elle est propulsée dans un incroyable carnaval de délices charnels orchestré par la Maestra Surgeon, que l’on soupçonne d’être à l’origine du mirage. Au menu, des acrobates se mélangeant à des gangs-bangs lesbiens, un voltigeur tournant au-dessus de corps nus et le poney de Maestra suspendu à des hameçons en guise de punition. Ajoutez à cela une chatte vierge, du bondage de suspension, des percussions, des piercings aux mamelons ainsi qu’un cul recouvert de gâteau, jetez le tout dans un saladier, et le rêve vertigineux d’Alice se transforme en un fantasme vengeur aux proportions épiques. Rejoignez-nous.
« Feed: The Last Supper » est une descente dans les pensées perverties de la réalisatrice lesbienne Maria Beatty, une explosion kink extrême centrée autour de l’expérience d’une femme assujettie à un carnaval sexuel de torture, de beauté et de délices charnels.