Jean, jeune vidéaste, passe des images aux armes après la mort d’un ami survenu lors d’un contrôle de police. Enfermé en attente d’un procès, des esprits lui rendent visite.
« J’ai écrit ce film comme une lettre d’amour adressée à des auteurs passés et présents. Genet, Meinhof, De Lagasnerie. Mais aussi à Mathieu Morel, avec qui je partage ma vie depuis bientôt dix ans et que j’ai voulu filmer comme on peint une effigie. Oser me poser deux questions : peut-on faire passer l’engagement avant toute chose et enfin, peut-on mourir d’amour ? » Léolo Victor-Pujebet
Séance du 19 novembre en présence de l’équipe du film